LES ASSISTANTS tilde


 

Bertrand Cabot

2S1Bertrand Cabot, premier Dan de l’école Sayu, suit l’enseignement de Masato Matsuura depuis 2011. Il a participé à de nombreuses démonstrations notamment au Japon, au Liban, au Soudan, au Pays-bas, en France. Venu dans l’École pour s’initier aux techniques de sabre, il étudie depuis la totalité des disciplines abordées : Sabre, Aïki et Nô (Danse, Chant, et Kotsuzumi).

« L’école Sayu et le Dojo me permettent d’apprendre, d’appréhender, d’apprécier un Art immense. – Art ? car cela me procure plaisir, pouvoir, et transcendance. Immense ? car Art martial, Art du mouvement, Art de vivre, Art du spectacle, Art de la concentration, Art de l’espace, Art de l’apprentissage, Art de la transmission, Art de la mise en scène, Art du lâcher prise, Art de l’instant… Art de l’art. »

Bertrand Cabot

 

Olivier Josselin

2S1Olivier Josselin, masseur-kinésithérapeute, premier Dan de l’école Sayu, deuxième Dan d’Aïkido.

« J’ai commencé les arts martiaux comme un complément d’une pratique de hockey en compétition. Et j’ai trouvé cette pratique si riche que j’ai fini par abandonner le hockey pour me consacrer pleinement à l’aïkido. En 2011 on m’offre un Iaito ce qui m’incite à suivre l’enseignement de Masato Matsuura. Je suis fasciné par sa capacité à disparaître au moment de l’attaque et d’agir sur le partenaire de façon mystérieuse. Et ça, que ce soit à mains nues, au sabre ou à la Naginata. Cette pratique ouvre une troisième voie entre les deux possibilités martiales que sont la confrontation et la reddition. Une voie subtile, complexe, incertaine mais tellement satisfaisante. Cette pratique a eu des impacts majeurs dans mon rapport à l’autre, mes techniques professionnelles de thérapies manuelles ont gagné en sensibilité et subtilité. Mes relations sociales se sont enrichies de cette troisième voie, les rendant plus souples et harmonieuses, moins frustrantes. Enfin la découverte de la culture nippone m’a réconcilié avec la notion de divin. Ça me rend la vie plus amusante. »

Olivier Josselin

 

Ludivine Longou

N’ayant jamais pratiqué d’arts martiaux auparavant, c’est en 2015 que Ludivine Longou rejoint l’école de Masato Matsuura, cherchant au départ à recréer un lien avec la culture japonaise après une dizaine d’années d’étude de la langue japonaise. Elle participe à sa première démonstration en  2016 à l’occasion des 10 ans de l’école Sayu. Et obtient son premier Dan en 2022. Au long de sa pratique, elle cherche à se perfectionner grâce aux différents arts de l’école, tout en contribuant au partage et à la transmission de ceux-ci au travers des cours réguliers, des démonstrations, ateliers d’initiation etc.

« Grâce aux enseignements de Masato Matsuura, j’ai découvert bien plus que les arts martiaux traditionnels japonais, j’ai découvert une ouverture d’esprit, une recherche sur le corps, le mouvement ; une réflexion sans fin sur soi-même et son rapport avec ce qui nous entoure. J’ai trouvé à l’école Sayu la confiance en moi qui me faisait défaut et c’est un plaisir aujourd’hui de découvrir de nouvelles pratiques et élargir mes connaissances en abordant de nouvelles disciplines comme le Nô et le maniement de la Naginata ».

Ludivine Longou

 

Thierry Rebholtz

2S1Thierry Rebholtz pratiqua pour la première fois des arts martiaux à l’âge de 41 ans et après 7 ans d’enseignement auprès Masato Matsuura, il obtiendra son premier Dan.

« Cela fait plusieurs années que je suis les cours de Masato. J’affectionne aussi bien le Sabre que le Jujitsu qui sont, pour moi, une aide précieuse, pour me réaliser pleinement au quotidien. Par leurs aspects énergétiques, ces deux disciplines sont excellentes pour entretenir ma santé physique et mentale. Par ailleurs, il y a aussi une dimension spirituelle, où je peux y mettre ma propre vision ésotérique de la Vie. »

Thierry Rebholtz

Photo : Romain Jacquot

 

Alexis Ringenbach

alexisC’est avec Masato Matsuura qu’Alexis Ringenbach commence l’apprentissage du Kenjutsu, de l’Aïki et de l’Iaïdo en 2013. Au cours de sa pratique, il participera à plusieurs démonstrations, et ateliers d’initiation.
En 2018 il obtient son premier Dan, et continue à pratiquer, en axant sa voie sur l’étude, ainsi que sur le partage des enseignements et de la pratique de Masato Matsuura.

« J’ai rejoint l’école en cherchant une pratique à la fois physique, mentale et spirituelle. En pratiquant aux côtés de Masato, et bien sûr avec les élèves avancés comme débutants, je pense avoir trouvé tout cela, mais également un moyen, une méthode qui permet de découvrir son corps, retrouver son harmonie avec l’esprit, pour ensuite trouver l’harmonie qui peut exister entre les pratiquants, et enfin l’Harmonie avec le Monde qui nous entoure. »

Alexis Ringenbach